Sous les candélabres blancs et roses des marronniers en fleurs et autres nouvelles et poèmes

LAT a réuni 12 auteurs pour vous raconter, sous forme de poèmes, de lettre, d’essai, et de nouvelles leur évocation d’un amour qui ne se clame pas, mais se murmure, se cache ou se tait, se dévore ou se chamaille, se devine en se laissant aller à des travers habituellement peu plaisants. Mais qu’un brin de talent vienne à s’en mêler et voici que l’amour tu déploie ses ailes de géant en nous faisant vibrer.

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5 thoughts on “Sous les candélabres blancs et roses des marronniers en fleurs et autres nouvelles et poèmes

  1. Bonjour,

    Mes deux préférés : le texte de Stipe (humour garanti) et celui, avec un réel coup de coeur, de Sophie Lucide.

    Le titre ainsi que l'image de couverture sont très bien aussi. D'ailleurs on appelle "candélabre", un arbuste ou un arbre en forme de candélabre. Donc tout va bien.

    Nous ne sommes pas encore à la Chandeleur, mais un peu de chaleur au coeur de l'hiver ne vous fera pas de mal.

    Bonne lecture à toutes et à tous.

  2. Des anémones d’Air qui nous interrogent avec l’humilité qui caractérise son auteur, se défendant presque de poser des questions au lieu d’y répondre, retenons qu’écrire est une part de soi dont on se déleste pour mieux nous nourrir les uns des autres… Cannibales hérétiques, isn’it Slévich ?
    Aganticus qualifie ce recueil d’éclectique, ce qui n’est pas faux ; chaque texte se suffit à lui-même, sans doute, mais réunis, ne recouvrent-ils pas un large spectre d’un amour dont on ne finira jamais de dessiner les contours, tant ils sont flous, changeants ?
    Stipe nous a fait tire et Flo pleurer : deux pans d’une conjugalité commençant à s’user, doucement ou plus brutalement. Aganticus nous a étonnés, ainsi notre trublion ressemble à ce clown qu’il ne faut pas trop secouer, n’est-il pas émouvant ? Et Tof’ nous livrant la plus belle illustration de l’amour balbutiant, comme il a réussi à peindre cette sublime hésitation faite de frôlements, de regards qui se détournent pour mieux se chercher, peut-être se trouver.
    Tous ces peut-être que nous propose l’amour, avec ses hypothèses incongrues, ces peurs irrationnelles, les émotions uniques ressenties à la lecture, merci !!!
    Et cet obscur objet de plaisir que représente la découverte d’auteurs inconnus, poètes qui ne s’interdisent rien, de l’absence à la jouissance charnelle, quel pied de lire Rémy Verneuil !
    Vous lire, préparer ce recueil, agencer vos écrits, m’ont fait sentir bédouine, folle amoureuse, mystique child à mon tour…..
    Ne cessons pas le jeu, amusons-nous encore !

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