Nulle part…
Viens-tu de nulle part ?
Où n’est-ce
D’un matin de hasard ?
Cœur ouvert
Au long fleurissement ;
Conscience
Du frémissement
S’attardant
Sur ta peau fragile
A l’heure
De ce commencement
Le début
De la maturation :
Sans cesse
Dés lors, changeras-tu ;
En esprit,
La chair ou la matière
Boucanent
Inéluctablement ;
Mais chacun
Peut décrypter l’écorce
Les stigmates
Parlent bien de ses rides.
Aisément
S’installe l’inertie ;
Qu’est-ce à dire
Le silence et l’oubli ?
Jusqu’au faîte
L’arbre apprend à trembler
Pour ses racines :
Comme lui où vas-tu ?
Céleste est
Cet espoir attendu :
Récompense
Imaginée, offerte
A soi-même :
Un déni absolu.
Viens-tu de nulle part ?
Où s’en vont
Tes rêves pas à pas ?
Pierre WATTEBLED – le 12 avril 2015.
Où le cœur bat de temps en temps.
Si le cœur marque le temps compté d’une vie
Je voudrais ressentir, corps et âme, en tes nuits,
Ses pulsions dans tes veines conduisant la chaleur ;
Et pouvoir ensemble jouir d’un vrai bonheur.
Quand les cœurs enlacent le tempo de la vie
L’amour ne pense pas aux minutes qui fuient ;
Rien ne mesure l’instant quand vibrent les amants
Nul besoin qu’il ne soit en durée subséquent.
Car le cœur se délivre des normes calendaires
Dans le lit du présent qui réfute l’éphémère.
Et les lèvres unies déclinent en silence
Un désir sensuel, une ferveur immense.
J’ai mal au cœur, mon cœur, et pour tout te dire
J’ai peur de cette peur : la fin vient désunir
Les plus forts des accords, et pour l’éternité
Où le cœur bat de temps en temps de l’autre côté.
Pierre WATTEBLED- le 31 mars 2015.
Les fleurs d’un buisson sauvage.
J’ai cueilli les fleurs d’un buisson sauvage
Qui jouaient les galantes à mon passage
Sûrement souhaitaient-elles la déchirure,
Tant elles faisaient étalage de leur cambrure.
Elles savaient qu’elles créeraient d’autres plaisirs,
Illuminant le regard des désirs :
Offertes au grand partage l’amour,
Au féminin présent seyant toujours.
Posée en un vase, la belle saison
Habitait chaque pièce de la maison
Distillant, ici ou là, sa douceur.
Son parfum discret et tendres couleurs
J’ai cueilli les fleurs d’un buisson sauvage
A l’heure première : le temps est volage ;
Demain tomberont ses roses pétales,
La fin en tout n’est jamais idéale.
Pierre WATTEBLED- le 9 avril 2015.
Cœur à cœur, d’âme en âme.
Virevoltante la soie légère
D’une pensée
Qui effleure avec douceur
L’esprit ouvert
Virevoltant les blancs flocons
Tous ces mots
En l’encre sympathique :
Vides espaces
Virevoltant tels désirs fous
Imaginant
La tessiture, l’essence
Des trémolos…
Virevoltants, superficiels,
Dans l’air voilé,
Le sens et les vibrations
Qui portent voix.
Tourbillonnante l’émotion
Enfin surprise
Où surgit la transmission
Du parchemin.
Enchantement en ce partage
Réunissant
De cœur à cœur, d’âme en âme,
L’humanité.
Pierre WATTEBLED- le 14 mars 2015
Cœur à cœur, d’âme en âme.
Virevoltante la soie légère
D’une pensée
Qui effleure avec douceur
L’esprit ouvert
Virevoltant les blancs flocons
Tous ces mots
En l’encre sympathique :
Vides espaces
Virevoltant tels désirs fous
Imaginant
La tessiture, l’essence
Des trémolos…
Virevoltants, superficiels,
Dans l’air voilé,
Le sens et les vibrations
Qui portent voix.
Tourbillonnante l’émotion
Enfin surprise
Où surgit la transmission
Du parchemin.
Enchantement en ce partage
Réunissant
De cœur à cœur, d’âme en âme,
L’humanité.
Pierre WATTEBLED- le 14 mars 2015
Cœur à cœur, d’âme en âme.
Virevoltante la soie légère
D’une pensée
Qui effleure avec douceur
L’esprit ouvert
Virevoltant les blancs flocons
Tous ces mots
En l’encre sympathique :
Vides espaces
Virevoltant tels désirs fous
Imaginant
La tessiture, l’essence
Des trémolos…
Virevoltants, superficiels,
Dans l’air voilé,
Le sens et les vibrations
Qui portent voix.
Tourbillonnante l’émotion
Enfin surprise
Où surgit la transmission
Du parchemin.
Enchantement en ce partage
Réunissant
De cœur à cœur, d’âme en âme,
L’humanité.
Pierre WATTEBLED- le 14 mars 2015
Cœur à cœur, d’âme en âme.
Virevoltante la soie légère
D’une pensée
Qui effleure avec douceur
L’esprit ouvert
Virevoltant les blancs flocons
Tous ces mots
En l’encre sympathique :
Vides espaces
Virevoltant tels désirs fous
Imaginant
La tessiture, l’essence
Des trémolos…
Virevoltants, superficiels,
Dans l’air voilé,
Le sens et les vibrations
Qui portent voix.
Tourbillonnante l’émotion
Enfin surprise
Où surgit la transmission
Du parchemin.
Enchantement en ce partage
Réunissant
De cœur à cœur, d’âme en âme,
L’humanité.
Pierre WATTEBLED- le 14 mars 2015
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