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L’apostof’, cette « virgule libérée de la pesanteur qui la clouait sur la ligne de base ».
PETITS CONTES DE L APOSTOF’
Lu 255 fois
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L’apostof’, cette « virgule libérée de la pesanteur qui la clouait sur la ligne de base ».
PETITS CONTES DE L APOSTOF’
Lu 255 fois
La couverture est un photomontage réalisé à partir d'un tableau de Leonor Fini, "La passagère"… http://tof-enfantdenovembre.over-blog.com/article…
Quelques réactions aux petits contes de l’AposTof’:
Petit phasme: « Entre Prevert et Queneau y a tof’ qui tanphasme. » Blabaptiste
Un texte vivant, poétique, aux couleurs de l’enfance je trouve, qui contraste avec l’immobilité de cet étrange insecte absorbeur de pluie… Attention Kafka n’est pas loin, tu pourrais te réveiller avec une tête en feuille de chêne… LeFilceleste
« Téléportation sur les bancs de l’école, souvenirs imprécis de première découverte d’un être dont l’étrangeté titille la poésie et l’envie d’être un Lost Child. Ces styles qui évoluent et nous embarquent… plusieurs plaisirs sont évéillés merci Tof’. » Aziyadé
Le lagon de Q: « Un conte OVNI, vivre d’amour et d’eau saumâtre, et une grenouille Napoléon … » Eifeilo
Beluga: « C’est très beau, la manière dont tu nous plonges dans cet univers végétal. » Turbulence Particule
La philosophie par les trous de nez: « belle philosophie… une bonne façon de rendre un rhume moins pénible » Picoti
« C’est une philosophie tendance, et puis, avec toutes ces pollutions normal que le sage penseur éternue !
Mais pour ma part, l’éternuement ça me bronche plus que ça ne me branche..Des branches de tilleuil.. » Maria Ivaldi
« Fort heureusement, je n’ai jamais eu la philosophie dans le nez » Eifeilo
Vous me laissez la tête dans l’étoupe impérieuse et indécise des nostalgies de l’enfance, y compris des enfances que l’on n’a pas eues mais qui nous hantent.
Merci de cet imaginaire si lourd de réalité.
ahah la fine équipe de critiques ! Je suis content d’être de retour