Ma Lucy luke,
Qui épistole le mieux ? Elle est bien bonne.
El pistolero plus vite, que es un hombre.
Sauvage, la courbure del sombrero.
Surprenante liberté en briques, matériaux indicibles, invisibles, aériens.
Sauter dans la joie palpable, sensible.
Notre cabane dans les bois ressemble à celle de Hansel et Gretel. La sorcière est au four, les volets et les murs aux épices.
Parfois tout va bien, je suis l’hirondelle et traverse les océans sans me poser de questions. J’ose respirer. L’inspiration nivelle les barrages pour permettre à la vie de se déployer sans s’étouffer.
Je n’ose dire mon besoin abyssal de stabilité affective. Je survole, jongle, plane comme la mouette de Bach. Et me pose mille questions. Gardien consciencieux.
Je me pensais guérie des montagnes russes des émotions et chavire entre plénitude et abysses. Alors que je pensais avoir fait la paix avec moi-même, je redeviens mon tyran.
On s’en balance le clavier exact. Un sniff de sarriette, un thé à la cannelle et bonjour, bonjour les hirondelles.
Je suis allée voir pousser les arbres dans « il était une forêt »… leur règne sur le temps, les fruits comme moyens de locomotion, les processus de diversification. J’ai somnolé, allais de rêve en rêve.
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J’ai adoré ce vol des mots sur l’air du temps. J’en vis, j’envie cette plume sans dérive qui me parle dans mes mots. On s’embrasse. Bonnes Fêtes !